Nous transcrivons ici l’intermède : le Pourceaugnac tiré du Carnaval ; nous y joignons les paroles françaises qui accompagnent l’édition du divertissement de Chambord, publiée chez Ballard, (indiquée comme imprimée en 1670, in-4°, mais que nous n’avons pu trouver que portant la date de 1715. […] On peut remarquer qu’évidemment, si l’on admet l’ordre indiqué par le divertissement publié chez les Ballard, l’ordre des scènes y eût gagné. […] IV On pourrait faire cette objection, contre le remaniement que nous entrevoyons, que si pareille chose avait existé, on en eût sans doute déjà trouvé la trace ; mais la comédie de Pourceaugnac peut avoir été, comme tant d’autres pièces de Molière, corrigée avant d’être publiée.