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95. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

c’est la distance qu’il y a entre la prose du Roman comique et tel chœur d’Aristophane, ou certaines échappées sans fin de Rabelais. […] Dans la prose didactique c’en est bien là l’emploi le plus fréquent; mais non dans la poésie. […] Voltaire n’a-t-il pas dit que l’on reconnaît les beaux vers à ce qu’ils deviennent traduits en prose. […] Aux yeux de plus d’un critique, elle a paru doublée de prose. […] Même dans les siècles les plus déshérités, il y a encore des hommes qui ne font pas seulement de la prose.

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