La comédie nouvelle et la prose. — Plaute et Térence. — IV. […] Cette comédie a beau être en prose, c’est une composition poétique. […] l’affinité est grande entre la prose et le sérieux. […] C’est la perpétuelle et banale accusation que la prose adresse à la poésie. […] Il a écrit en prose et même en vers dans la langue de Molière.