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227. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Ne craignez rien : dans l’amoureux empire, Le mal n’est pas si grand que l’on le fait ; Et lorsqu’on aime et que le cœur soupire, Son propre mal souvent le satisfait. […] La Du Parc déploya devant lui, pour l’entraîner, ses adorables coquetteries, mais au lieu de faire un rôle à celle que l’on surnommait la Marquise, il lui rimait des stances comme celle-ci : Ce qui vous rend adorable N’est propre qu’à m’alarmer, Je vous trouve trop aimable Et crains de vous trop aimer.

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