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135. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE V. L’Éducation des Femmes. » pp. 83-102

Quel beau miroir, où les femmes furent forcées de contempler leurs propres ridicules et d’en rire jusqu’aux larmes ! […] J’ai souffert qu’elle ait vu les belles compagnies, Les divertissements, les bals, les comédies ; Ce sont choses, pour moi, que je tiens, de tout temps, Fort propres à former l’esprit des jeunes gens ; Et l’école du monde, en l’air dont il faut vivre, Instruit mieux, à mon gré, que ne fait aucun livre, etc.

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