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125. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

On accusait Molière d’avoir épousé sa propre fille. […] parce que l’ambition est un péché tout spirituel, et par conséquent propre des anges. […] Les serrant de plus près, il les convainc de fraude contre leur propre conscience, tout comme ces hypocrites dont ils font tant d’éclat. […] Molière ne se dissimulait pas plus les faiblesses du parterre que ses propres chutes ; il savait prévoir l’ignorance du public et n’hésitait pas à la corriger. […] Alors l’homme n’éprouve pas seulement son propre néant, il provoque la résistance des autres natures qu’il veut déranger et blesser par le surcroît où il aspire.

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