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88. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

J’ai la tête remplie de nouvelles prophéties des grandeurs et de la puissance de Dieu ; tout cela m’a pénétré d’une terreur religieuse et d’un profond respect pour le Roi des rois. […] Rien ne pouvait davantage envenimer la profonde blessure que recevait la religion. […] Le texte du sermon est une de ces profondes paroles du Sauveur qui éclairent tout de suite l’intelligence chrétienne en y gravant le trait de la vérité. […] Là est le germe de la pensée de Molière et la cause profonde des applaudissements qu’elle obtient. […] Rien ne va si profond dans l’absurde qu’un sot enflammé qui creuse sur lui-même.

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