C’est, on le répète, une leçon variée à l’infini et toujours la même ; c’est l’affirmation continuelle que le mariage ne peut être bon ni heureux s’il ne repose que sur une affection naturelle, un dévouement réciproque, et un profond sentiment du devoir. […] Elle doit au mari « de la docilité, Et de l’obéissance, et de l’humilité, Et du profond respect575 ; » elle est faite « Pour céder le dessus en toute chose à l’homme576. », XXV.