Au fond, dit-elle, ce ne sont pas les événements qui importent ici ; c’est l’impression que les événements racontés produisent sur Arnolphe. […] Il ne faut pas confondre l’impression causée par le silence des nuits étoilées au milieu desquelles le rossignol chante, avec celle qui est produite par le chant du rossignol lui-même.