Il produisit une réforme générale ; on rit, on se reconnutb ; on applaudit en se corrigeant. » « [*]Il y a très peu de défauts contre la langue (dans cette pièce) parce que lorsqu’on écrit en prose, on est bien plus maître de son style, et parce que Molière, ayant à critiquer le langage des beaux esprits du temps, châtia le sien davantage. […] La pièce fut jouée avec un applaudissement général : et j’en fus si satisfait en mon particulier, que je vis dès lors l’effet qu’elle allait produire.