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35. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Aujourd’hui nous voulons essayer de nous faire une idée des principes qui le dirigèrent. […] En faisant répéter sa troupe devant lui, il indique les principes naturels de la véritable déclamation, et, chose intéressante, les principes de Molière se rencontrent à merveille avec ceux qu’expose Shakespeare,, par la bouche de Hamlet. […] Ce principe, de tout temps méconnu par la foule, est vrai dans les domaines les plus divers. […] Mais leurs principes sont en parfaite contradiction. […] S’il s’agissait des hommes, le principe que pose ici Molière serait fort dangereux.

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