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34. (1769) Éloge de Molière pp. 1-35

Les Médecins, également attachés à leurs robes, à leur latin et aux principes d’Aristote, méritaient presque tous l’éloge que M.  […] Toutefois il ne se pressa point de paraître ; il remonta aux principes et à l’origine de son art. […] Que ne puis-je montrer l’application de ces principes à toutes les Comédies de Molière !

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