Il avait reconnu tout de suite dans la forte conception de Molière quelque chose de sérieux et humain, une œuvre d’un genre mixte qui n’avait pas encore de nom, qui devait s’appeler quelque jour le comique larmoyant, puis la tragédie bourgeoise, finalement le drame, se rattachant au principe de la comédie antique toujours forcée de rire dans son masque immobile ; en vertu de cette règle du rire perpétuel, il trouvait le moyen de mettre le troisième acte des Plaideurs au-dessus du cinquième acte de Tartuffe. […] Il traduit donc : « Bisogna ricordarti de buoni principi : »C’est-à-dire : « il faut te souvenir des bons principes », — et voilà la religion sauvée !