Mais cet enthousiasme peut-il et doit-il tenir devant une critique impartiale et sérieuse, qui cherche à s’appuyer sur les principes de l’art ? […] Rappelons ici d’abord le principe fondamental du beau en architecture. […] Et après l’avoir examiné attentivement, nous regrettons que, dans un pays comme la France, où les artistes de talent sont en grand nombre, on ne parvienne pas à créer des monuments plus homogènes dans leurs parties, et exprimant mieux les sains et véritables principes de l’art. La faute en est-elle à l’ignorance où l’on est de ces principes ou à l’isolement dans lequel se tiennent les artistes les uns des autres ?