La pièce court à sa fin, portée sur la bonne humeur de tous ; Arnolphe se relève exaspéré, fait enfermer Agnès, trahit Horace qui vient le prier d’intercéder pour lui près de son père… Aussi quelle joie lorsqu’on voit le dénouement tourner contre le traître ! […] Je vous en prie, laissez-la venir à vous,comme les petits enfants, avec cette candeur qui lui vient bien plus de.la droiture de sa jeunesse que de l’ignorance où on la tient, avec cet air engageant et ce je ne sais quoi de tendre, que lui donne la bonté de son petit cœur : Oh !