Que reste-t-il donc, si l’on ne peut s’en prendre aux directeurs ni aux confrères ni à l’auditoire, que reste-t-il pour expliquer l’abandon où gisent les classiques ?
Que reste-t-il donc, si l’on ne peut s’en prendre aux directeurs ni aux confrères ni à l’auditoire, que reste-t-il pour expliquer l’abandon où gisent les classiques ?