Dans la suite ce genre de comique prit encore une nouvelle face. […] C’est ce naturel grossier qui fait le plaisant de la comédie ; et voilà pourquoi ce n’est jamais que dans la vie commune qu’on prend les personnages comiques. […] On en peut dire autant des deux scènes qu’il a prises dans Le Pédant joué, de Cyrano Bergerac. […] ajoutait M. le duc *** le pauvre homme extravague : il est épuisé, si quelque autre auteur ne prend le théâtre, il va tomber : cet homme-là donne dans la farce italienne. […] Que Molière en prenne à la Cour, s’il veut me faire plaisir.”