Madame Lisban rougit, & veut se retirer : son époux offre de l’accompagner dans son appartement : mais avant que d’entrer, il va, dit-il, lui lire un conte intitulé Heureusement, & sort pour le prendre dans sa bibliotheque. […] Lindor eut à peine le temps de prendre congé de Bélise. […] Je commençai par l’écouter avec impatience ; je finis par l’entendre avec dégoût ; je pris même la liberté d’avouer à mes parents que cet homme-là m’ennuyoit à l’excès : on me répondit que j’étois une sotte, & qu’un mari étoit fait pour cela. […] Il promet à Dorilas de le prendre chez lui, & le sacrifie ensuite au Gascon qui vient faire la scene suivante. […] Si vous ne le prenez pas, M. le Marquis, je le prends, moi.....