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184. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250

Mais nous ne les mettrons plus aux prises, et leur bonne intelligence sera peut-être le prélude d’une amitié solide entre Shakespeare, Aristophane et Molière. […] Prenons le Tartuffe. […] Mais croit-on que, si l’on prenait cette peine, on rendît un grand service à la critique ? […] Elle se laisse prendre aux choses avec candeur et bonne foi. […] Corneille appelle la Poétique un divin traité (Préface du Cid) et il en dit tant qu’on est tenté de prendre cette expression à la lettre.

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