Mais nous ne les mettrons plus aux prises, et leur bonne intelligence sera peut-être le prélude d’une amitié solide entre Shakespeare, Aristophane et Molière. […] Prenons le Tartuffe. […] Mais croit-on que, si l’on prenait cette peine, on rendît un grand service à la critique ? […] Elle se laisse prendre aux choses avec candeur et bonne foi. […] Corneille appelle la Poétique un divin traité (Préface du Cid) et il en dit tant qu’on est tenté de prendre cette expression à la lettre.