Nos érudits en prennent l’habitude. […] Fritsche prend en pitié notre pauvre étymologie populaire et languedocienne de ganaro, ganarel, ivresse, ivrogne. […] Fritsche, de Stettin (province de Poméranie), prend la chose au vif. […] Qu’il en prenne son parti. […] Il faut ignorer « la langue provençale, ancienne ou moderne », comme je l’ignore, pour avoir eu l’absurde idée d’admettre un seul instant que Molière aurait, apparemment, pris dans le Bas Languedoc, plutôt qu’en Italie, ce nom de Sganarelle qu’il y trouvait tout fait !