Il ne faut pas être fort clair-voyant, pour voir que Moliere a pris de l’Italien les amours de Valere & de Mariane, le déguisement du premier, la confiance de l’Avare pour son Intendant, la jalousie de Maître Jacques ; mais tout le monde apperçoit-il l’utilité des heureux changements que Moliere a faits en transportant cette portion de fable sur son théâtre ?