Em. de Géricourt sur une représentation du premier centenaire de Molière, représentation qui n’a pas eu son pendant cette année. […] On s’imagine que dès que Molière dut paraître, dès qu’il donna au public ses premiers essais, fussent-ils informes, on l’accueillit et on lui fit fête. […] Il avait achevé les trois premiers actes de sa comédie. […] C’est lui qui a remis le comique dans son premier éclat ; et depuis Térence personne n’avait pu légitimement prétendre à cet avantage. […] — Il avait peut-être emprunté le trait aux premiers essais de Molière.