Il prétend même que Sophie Apprenne incessamment l’Anglois. […] De sa jeune pupille il prétend faire un sage, Qui, renonçant au mariage, Dans sa retraite de hibou, Perde, à philosopher, le plus beau de son âge, Et prenne, au lieu d’amour, de l’ennui tout son soul. […] Eraste présente à Sophie le prétendu maître. […] Comme Eraste n’entend pas cette langue, il la donne à lire au prétendu maître, qui l’entend aussi peu qu’Eraste, & qui, par conséquent, est très embarrassé. […] Sa mort, &c. » Eraste voit qu’il est la dupe du prétendu maître ; il le fait appeller.