Bref, à tort ou à raison, il souffre mille morts dans une seule ; et cependant vous voulez que je rie aux éclats de ces misères ; vous prétendez m’amuser au récit de ces tortures, sous prétexte que cela fait toujours passer une heure ou deux ! […] En même temps, comme chacun de ces personnages parle le langage qu’il doit parler, comme la comédie conserve tous ses droits d’un bout à l’autre de la pièce, en dépit de Voltaire lui-même qui prétend y retrouver le ton et la forme de la satire !