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119. (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571

Rousseau prétend que, dans cette pièce, le public applaudit à la femme infidèle, et rit du mari trompé. […] On prétendit, dans le temps, que Pourceaugnac était la peinture d’un original qui était venu s’offrir lui-même aux pinceaux de Molière. […] L’art chimérique, qui prétend lire nos destinées dans les aspects et dans les positions des corps célestes, remonte à la plus haute antiquité ; et c’est surtout parmi les puissants de la terre, que les promesses ou les menaces de cet art ont trouvé des esprits disposés à y croire.

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