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9. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Dans les grands centres, les ridicules et les travers poussent et se multiplient comme les champignons en serre chaude. […] Le vice avait été poussé à sa perfection, le châtiment devait y atteindre aussi. […] Ces deux tendances ne peuvent ni l’une ni l’autre être poussées à l’extrême; mais elles sont humaines l’une et l’autre. […] Il ne faut jamais pousser trop loin ces sortes d’interprétations : un poète tel que Molière ne s’asservit pas. […] Le comique peut être gai, et pourtant il n’enfante pas la joie; il peut être sérieux, et pourtant le sérieux poussé à un certain degré le rend impossible.

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