Je trouve d’ailleurs que le héros Italien, en tremblant au moment de pousser sa maîtresse à bout, en craignant de la perdre peut-être pour toujours, en se persuadant quelquefois qu’elle peut être innocente malgré les apparences, est beaucoup plus intéressant que Don Garcie, qui, sans frémir sur le bord du précipice où il se trouve, ne balance seulement pas, n’est point alarmé des menaces d’Elvire, & consent, sans hésiter, à la perdre en la forçant de se justifier.