L’anecdote n’est pas de celles qui plaisent aux délicats, mais elle tient trop au sujet pour qu’il me soit permis d’en faire grâce h mes lecteurs, d’autant qu’elle peint au vif le naturel à la fois ingrat et bouffon du personnage. […] Le livre est trop connu pour que je m’attache à l’examiner. […] Ne fallait-il pas que la réputation de Mlle Molière fût bien compromise pour qu’un libertin trouvât tout simple d’acheter ses faveurs ? […] Pour qu’on fût assuré de réussir dans une pareille tâche, il faudrait deux lignes au moins qui fussent bien certainement de l’auteur du Tartuffe, et ces deux lignes, où les trouver ? […] Les signatures connues de Molière différent de celle de la quittance, et, d’ailleurs, la forme des lettres de ces signatures ressemble trop à celle de beaucoup d’écritures du XVIIe siècle pour que j’en puisse déduire une écriture certaine.