Il fallait un Louis XIV pour que la France pût s’enorgueillir d’un Molière. […] La frayeur portait la plupart à voter pour qu’on sollicitât la révocation de la défense. […] C’en était assez pour qu’il ne fût pas plus ménagé par Molière que par Guy Patin. […] Mais l’intention de l’auteur est trop manifeste pour qu’on ne sente pas au premier examen que cette accusation est sans fondement. […] Molière n’avait rien négligé non plus pour que l’exécution scénique fût également irréprochable.