Ces journaux qui, il y a trois ans, remplirent longuement leurs colonnes de l’histoire d’un fauteuil où s’était assis Molière lorsqu’il était à Pézenas, n’ont pas eu une ligne de colère contre la destruction, possible maintenant, de la maison de Molière. […] J’en suis fâché pour la poésie des inscriptions et belles-lettres, mais les cheminées manufacturières de Chaillot et de Passy sont les seules colonnes possibles de notre temps.