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94. (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914

Je consens à croire que les contemporains découvriraient dans ces admirables compositions des allusions, des portraits qui sont perdus pour nous ; mais le plus grand mérite de Molière est d’avoir mis constamment la vérité humaine, c’est-à-dire la vérité de tous les âges, au-dessus de la vérité locale et passagère. […] Vouloir trouver dans le personnage d’Horace le portrait du comte de Guiche serait assurément chose téméraire.

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