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168. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Écoutons ensemble si vous voulez : Voyez-vous comme la tirade sur les ruelles, comme la conversation sur les portraits, les impromptus, l’histoire romaine mise en madrigaux, etc., paraissent froids ; le public ne rit que du bout des dents. […] Et qu’on ne me dise pas que ce n’était point là le portrait de l’abbé Cotin. […] Quel joli portrait M. 

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