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124. (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293

Molière se vengea en peintre : il s’amusa à dessiner ses ennemis et fit rire de leur portrait. […] On vit paraître successivement la Vengeance des Marquis, par de Villiers; Zèlinde ou la Critique de la critique, par Visé ; et le Portrait du Peintre, par Boursault. […] Mais on lui persuada que c’était lui que Molière avait eu en vue dans le rôle de Lisidor, et il fit contre lui le Portrait du. […] C’est pourquoi Molière devrait plutôt travailler à nous faire voir qu’ils sont tous des héros, puisque le prince est toujours au milieu d’eux, et qu’il en est comme le chef, que de nous en faire voir des portraits ridicules.

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