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124. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

« Mais, ajoute-t-il, qu’est-ce que dans le monde on ne corrompt point tous les jours, et quelle est la chose innocente où les hommes ne puissent porter du crime ? […] Boileau se demandait s’il y avait des malheureux dans l’univers lorsque Louis portait le sceptre. […] Il sentait bien, lui, par raison logique et philosophique, où portaient les coups de Molière. […] Nous tâchons à les y porter, nous leur en représentons l’importance et la nécessité. […] Non, non, il n’y a point de paix, ni domestique, ni étrangère, qui doive être préférée à l’obligation de porter l’intérêt de Dieu et de s’opposer à l’offense de Dieu.

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