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14. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Pour le style des beaux endroits, il y est si excellent, qu’il fallait un poète de génie pour le soutenir. […] Le droit du poète sur ce langage ne va qu’à en ôter les fautes de français. […] Il a un duel, pour avoir voulu qu’un poète confessât que ses vers sont mauvais. […] Ce méchant poète est un cupide qui convoite la dot plus que la fille : il est découvert ; voilà le dénouement. […] Boileau, qui n’écrivait rien au hasard, qualifie ses peintures de doctes, Il l’entendait non-seulement du poète philosophe, mais du poète comique, savant entre tous dans son art.

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