D’ailleurs notre Poëte faisant jouer le rôle de faux Médecin à un premier personnage, ne pouvoit mettre dans sa bouche un verbiage ridicule qui auroit affadi le plaisant de l’idée. […] La scene de Moliere, ainsi encadrée, a dû nécessairement mieux ressortir que celle du Poëte latin. […] Les beautés qui sont dans Moliere sont bien dans Cyrano ; mais notre Poëte a su les mettre au creuset & les séparer d’avec l’alliage qui les dégradoit.