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124. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273

D’ailleurs notre Poëte faisant jouer le rôle de faux Médecin à un premier personnage, ne pouvoit mettre dans sa bouche un verbiage ridicule qui auroit affadi le plaisant de l’idée. […] La scene de Moliere, ainsi encadrée, a dû nécessairement mieux ressortir que celle du Poëte latin. […] Les beautés qui sont dans Moliere sont bien dans Cyrano ; mais notre Poëte a su les mettre au creuset & les séparer d’avec l’alliage qui les dégradoit.

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