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17. (1843) Épître à Molière, qui a obtenu, au jugement de l’Académie française, une médaille d’or, dans le concours de la poésie de 1843 pp. 4-15

Grâce à toi le bouffon est presque le sublime, Et l’homme entier respire en ces cadres légers, De ton malin pinceau caprices passagers, Comme en ces grands tableaux pleins d’images si vives, Des mœurs de ton époque admirables archives. […] S’il est quelques travers, que ma muse peut-être Railleuse inexorable, empêcha de renaître, J’en vois d’autres qui, pleins de force et de santé, Menacent l’avenir de leur longévité.

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