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183. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

La ville était aux pieds de l’enchanteresse, attendant son heure et son bon plaisir. […] Le public peut supporter facilement toutes les tyrannies, mais absolument il ne veut pas qu’on lui impose son admiration et ses plaisirs. […] Triste plaisir ! […] Il n’a pas de plus grande injure à adresser à cette belle créature qu’il offense en courant, sans plaisir, sans pudeur, sans probité. […] — Moncade : J’y souperai si cela lui fait plaisir ! 

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