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175. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

L’ignorance des docteurs de son temps était ainsi que nous l’avons dit, telle que le sentiment public le secondait, non moins que le bon plaisir du roi. […] La troupe que dirigeait Molière, et qui prit bientôt le nom de la troupe du roi, servait aux plaisirs de la cour, comme nous l’avons vu. […] Pour moi, je n’ai cessé de vous être soumise, et je ressens toujours un nouveau plaisir à rendre service aux gens de bien, à leur être utile. […] La bourgeoisie s’est perdue, comme la noblesse, par la vanité, le luxe et les plaisirs, et l’avènement du peuple a commencé. […] Il a besoin, dans une pièce qu’il fait, d’un caractère de nigaud, de fat, d’imbécile ; je veux lui donner ta connaissance, baron, cela lui fera plaisir, sur ma parole : il a peine à trouver de nouveaux caractères.

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