La Comtesse d’Escarbagnas, vraie du temps de Molière, l’est donc beaucoup moins aujourd’hui ; et voilà pourquoi les comédiens, qui la représentent, en outrent tous les caractères : à la place de cette ressemblance exacte, dont on ne peut plus être frappé en l’absence des originaux, ils mettent cette charge bouffonne, qui peut toujours plaire à l’imagination.