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213. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

Il le met en face de Descartes et se plaît à rapprocher une philosophie qui commence à la conscience du moi, de la poésie qui dictait à Corneille le Moi de Médée, le Qu’il mourût du vieil Horace, le Soyons amis d’Auguste et la réponse, deux fois répétée, de Polyeucte : Je suis chrétien .

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