On battait des mains à ces spirituelles boutades de Tircis contre les mariages d’amour : Pauvre amant, je te plains, qui ne sais pas encore Que, bien qu’une beauté mérite qu’on l’adore, Pour en perdre le goût, on n’a qu’à l’épouser.
On battait des mains à ces spirituelles boutades de Tircis contre les mariages d’amour : Pauvre amant, je te plains, qui ne sais pas encore Que, bien qu’une beauté mérite qu’on l’adore, Pour en perdre le goût, on n’a qu’à l’épouser.