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138. (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146

« Voilà en peu de mots ce que l’on peut dire de plus obligeant et de plus avantageux pour Molière. » Auteurs qui vous plaignez de l’injustice de vos contemporains, qui vous récriez contre la partialité des critiques, consolez-vous ! […] Telle est, à coup sûr, l’époque où Molière présenta son premier placet à Louis XIV ; et il est évident, par la comparaison du texte de ce placet et des passages du livre dont il se plaint, et qui était en effet assez violent pour exciter son indignation, que les Observations sur une comédie intitulée Le Festin de Pierre, sont le livre du curé de… qui, selon tous les commentateurs de Molière et les historiens de sa vie, n’avait pu être retrouvé jusqu’à ce jour.

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