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13. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138

Ceux de Térence ne sont remplis que de plaintes & d’injures contre son ennemi ; aussi lui reprochoit-on, dans son temps même, qu’il n’auroit pas su de quoi remplir ses prologues, s’il n’avoit eu à se plaindre du vieux poëte. […] Des Prologues où l’Auteur se plaint de quelqu’un de ses Rivaux. […] Dufresny se plaignit à ses amis d’un larcin qui ne convenoit qu’à un poëte plagiaire ; cependant, au lieu de s’en venger, il ne chercha qu’à justifier ses droits, en donnant le Chevalier Joueur, tel qu’il l’avoit composé, & en y ajoutant un prologue, où l’on voit toute la modération & le désintéressement dont il étoit capable.

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