« Peut-être pourrait-on souhaiter quelquefois, écrit madame de Staël, même dans les meilleures pièces de Molière, que la satire raisonnée tînt moins de place, et que l’imagination y eût plus de part. » 289.
« Peut-être pourrait-on souhaiter quelquefois, écrit madame de Staël, même dans les meilleures pièces de Molière, que la satire raisonnée tînt moins de place, et que l’imagination y eût plus de part. » 289.