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164. (1885) Revue dramatique. Le répertoire à la Comédie-Française et à l’Odéon (Revue des deux mondes) pp. 933-944

On est certain que cet écho ne laisse pas tomber ces paroles, on se contente de cette certitude ; en traversant cette place, même sans prêter l’oreille, on est saisi de respect, et l’on n’imagine pas que cette émotion soit une duperie ; on sent que, du haut de ce balcon, quarante chefs-d’œuvre au moins contemplent la foule : ah ! […] Le Testament de César Girodot se serait contenté assurément de dix représentations, l’année dernière, ou L’Ami Fritz de douze, ou Les Pattes de mouches de trente et une, ou Le Monde où l’on s’ennuie de dix-neuf, pour céder une soirée à Rodogune, à Bajazet, à Don Juan ou aux Fausses Confidences ; le Bougeoir se serait tenu à quarante-deux, pour laisser une petite place au Legs ou à La Critique de l’Ecole des femmes.

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