— Oui, oui, mais je remplis ma panse De bons morceaux et de bons vins... etc. » Combien de Tartuffes au petit pied dans les fabliaux des trouvères! […] On sent que le triomphe de Tartuffe est impossible; on sent que le pied lui glisse; et l’on suit les progrès de l’action, parfois avec une curiosité inquiète, mais sans cesser d’avoir foi au poète. […] Je suis chérie des muses à la lyre mélodieuse, et de Pan au pied de bouc, qui tire de si doux sons du chalumeau; je fais les délices d’Apollon, le dieu de la cithare, parce que je fais croître dans l’eau de mes marécages le roseau qui sert de chevalet à la lyre.