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78. (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908

De plus, Éphyre, comme les deux autres néréides de la pièce, ne peut être jouée que par une jeune fille ou une jeune femme, car la seule raison d’être du personnage est de servir à un effet plastique. […] A la seule lecture de ces deux pièces, contrat et acte de célébration, tombent les diverses fables imaginées sur le mariage de Molière. […] Pourquoi cette série de méchans lots dans trois pièces successives ? […] » Et dans la Fameuse Comédienne les affirmations abondent, avec pièces à l’appui, lettres, conversations, etc. […] Rompue à la pratique du théâtre, elle combine certaines parties de son récit comme autant de petites pièces.

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