une pièce italienne, L’Interesse de Nicolo Secchi. Toute la partie romanesque du Dépit amoureux est imitée de L’Interesse, et dans cette partie la pièce italienne l’emporte souvent sur la pièce française au moins par la gaieté. […] Une grande gaieté se répand sur toute cette fin de pièce. […] Voilà donc pour les deux grandes pièces qui comptent dans l’œuvre de Molière. […] » La pièce de Cicognini finit brusquement sur ces mots.