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23. (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722

De nos jours, la grande plaisanterie est de parler français dans une pièce italienne. — A Chambord, la grande plaisanterie était de parler italien dans une pièce française. […] 11 est à remarquer que Molière n’a jamais écrit une pièce en deux actes; là est peut-être l’explication du fait. […] Et surtout les lacunes de la pièce sont inexplicables. […] Quelle était cette pièce ? […] La pièce se développait peut-être un peu au gré des acteurs, comme il était d’usage dans la comédie dell’ arte.

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